Le ethos de l’universite dans le contexte de la mondialisation: un debat sur la production de la connaissance, les mouvements sociaux et l’education de l’environnement
DOI:
https://doi.org/10.19177/prppge.v2e42009108-139Palavras-chave:
Education, Mouvements sociaux, Dégradation de l’environnement, MondialisationResumo
Les travailleurs des champs ont senti les problèmes de la politique d’expropriation des terres qui a atteint l’agriculture de subsistance, à Santa Catarina, Brésil. Le sommet des changements provoqués avec la monoculture de la canne à sucre, dont la finalité, à l’époque, a été de suppléer l’industrie du sucre, qui s’est produite dans les années 1990: déprédation du sol, pollution des rivières et déboisement, parmi d’autres éffets. La transformation dans le monde du travail a été redéssinée et l’exclusion sociale a acquérit, dans cette région, des contours de multiples facettes: travail d’esclave, réduction de la production d’aliments et dégradation de l’environnement. Les tensions de ces années semblent revenir aujourd’hui avec le modèle énergétique adopté: production d’alcool de canne à sucre. Durant cette période, pour contenir cet impact, les travailleurs se sont organisés et ont résisté dans un processus de caractère éducatif plus ample, de lutte pour le droit à la terre, au salaire, à la santé, à l’éducation, à l’identité culturelle et à la préservation de l’environnement. Avec emphase dans les expériences et les pratiques socio-culturelles et avec la connaissance produite à l’Université, les mouvements sociaux ont rendu possible l’articulation entre différents acteurs dans un contexte politico-économique influencé par la mondialisation.Downloads
Publicado
2009-12-30
Edição
Seção
Artigos
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